Khalilov Moorghen
Civil
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- 24 Janvier 2023
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En tant que citoyen engagé, je souhaite partager mon avis sur le traitement réservé aux civils. À mon sens, le fonctionnement actuel manque de logique.
• Traiter pour gagner moins qu’en exerçant une activité légale ne semble pas motivant.
De plus, les mini-jeux imposés ne conviennent pas à tout le monde (par exemple, une personne qui n’aime pas les jeux de cartes ne sera pas satisfaite par un blackjack).
Peut-être qu’en ajoutant plusieurs types de mini-jeux (comme Zuma, sudoku, Uno, dames, etc.), la situation pourrait évoluer. Cependant, cela pourrait sembler audacieux ou inutile, car les activités légales ne contraignent pas les individus à utiliser leurs compétences manuelles.
• La lenteur du traitement comparée à d’autres activités est également un point à considérer.
En ce qui concerne l’obligation de participer, elle n’est pas clairement définie. Les aspects financiers, les menaces de groupes et les avantages liés à certains groupes jouent un rôle important.
Pour maintenir le contact entre criminels et civils, je propose que les criminels fassent partie intégrante du quotidien des civils. Par exemple, les drogues pourraient offrir des avantages tels qu’un gain d’XP ou une amélioration physique, mais en contrepartie, un système d’addiction ou de contre-coup serait appliqué suite à leur consommation.
En outre, certains groupes pourraient proposer des améliorations permanentes pour certains véhicules (par exemple, des réservoirs rechargeables). Cette extension des petits business pourrait intéresser davantage de personnes. Plutôt que de se limiter à la production de drogue, les criminels pourraient créer des produits consommables ou utilisables, avec une marge bénéficiaire relativement faible mais en développant leur propre marque, ce qui influencerait les civils.
Enfin, l’idée d’acheter des néons chez les Japonais, des phares supplémentaires chez X ou des vêtements chez Y ajouterait une touche amusante, même si certaines limitations demeurent.
• Traiter pour gagner moins qu’en exerçant une activité légale ne semble pas motivant.
De plus, les mini-jeux imposés ne conviennent pas à tout le monde (par exemple, une personne qui n’aime pas les jeux de cartes ne sera pas satisfaite par un blackjack).
Peut-être qu’en ajoutant plusieurs types de mini-jeux (comme Zuma, sudoku, Uno, dames, etc.), la situation pourrait évoluer. Cependant, cela pourrait sembler audacieux ou inutile, car les activités légales ne contraignent pas les individus à utiliser leurs compétences manuelles.
• La lenteur du traitement comparée à d’autres activités est également un point à considérer.
En ce qui concerne l’obligation de participer, elle n’est pas clairement définie. Les aspects financiers, les menaces de groupes et les avantages liés à certains groupes jouent un rôle important.
Pour maintenir le contact entre criminels et civils, je propose que les criminels fassent partie intégrante du quotidien des civils. Par exemple, les drogues pourraient offrir des avantages tels qu’un gain d’XP ou une amélioration physique, mais en contrepartie, un système d’addiction ou de contre-coup serait appliqué suite à leur consommation.
En outre, certains groupes pourraient proposer des améliorations permanentes pour certains véhicules (par exemple, des réservoirs rechargeables). Cette extension des petits business pourrait intéresser davantage de personnes. Plutôt que de se limiter à la production de drogue, les criminels pourraient créer des produits consommables ou utilisables, avec une marge bénéficiaire relativement faible mais en développant leur propre marque, ce qui influencerait les civils.
Enfin, l’idée d’acheter des néons chez les Japonais, des phares supplémentaires chez X ou des vêtements chez Y ajouterait une touche amusante, même si certaines limitations demeurent.