Dans l'exemple cité par l'auteur du post, son collègue est justement venu porter assistance en neutralisant le braqueur, et à (apparemment) été sanctionné à cause des sommations. La question n'est pas de rendre le braquage plus dur avec un ajout technique (plus de temps pour fouiller), mais de permettre aux civils qui s'entraident justement, de pouvoir répondre par le même effet de surprise à l'encontre d'un braqueur.
Personne ne se plaint de la map, je t'invite à relire et surtout à comprendre ce qui est avancé ici comme argument. Dire "la gendarmerie n'a qu'à" ne démontre qu'une chose : que tu ne connais pas les limitations imposées aux gendarmes qui ont une conséquence directe sur les civils qui ne reverront jamais leurs biens, même si les braqueurs sont arrêtés.
Sinon on peut aussi définir avec le gouvernement qu'un témoignage de civil à valeur de preuve, et qu'il pèse plus que celui du présumé braqueur. Ce qui permettrait de récupérer les biens subtilisés (mais là aussi, il faudrait de toute manière imposer une règle dans le règlement général, qu'un individu victime de braquage n'a pas le droit de mentir à la gendarmerie sur la somme / les ressources volées).