Communiqué de PyrgosTV

Rodolf Thorsen

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Mesdames, Messieurs,

Suite au séisme survenu plus tôt dans la journée, une opération de reconnaissance a été lancée dans une zone souterraine récemment découverte non loin de la commune de Feres.
Selon nos informations, cinq soldats du 13ᵉ Régiment de Dragons Parachutistes sont actuellement portés disparus. Les autorités militaires restent extrêmement discrètes sur les circonstances exactes de cet incident.

Les recherches se poursuivent sans relâche, mobilisant les secours civils et militaires. Le périmètre est bouclé et toute intrusion est strictement interdite.

Nous appelons la population au calme et à ne pas relayer de rumeurs. Les familles des militaires disparus ont été informées et un soutien psychologique leur est apporté.

Pour toute information liée au séisme et à la zone concernée contactez le 17.

Les autorités promettent une communication officielle dans les prochaines heures, dès que la situation le permettra.

Un représentant du gouvernement français est déjà en route afin de prendre contact avec la Gendarmerie et d'organiser l'opération de recherche.
 
Ce soir, nous revenons sur l’un des dossiers les plus troublants de ces dernières années : l’affaire dite de la cavité. Ce gouffre, ouvert par le séisme, semble désormais abriter plus de mystères que les autorités ne veulent bien l’admettre.

Retour sur les faits :

Le 13 RDP, unité d’élite de l’armée française, avait été déployé dans la zone immédiatement après le séisme. Officiellement, il s’agissait d’une mission de reconnaissance géologique et de sécurisation.
Officieusement, plusieurs sources militaires évoquent une opération de récupération d’éléments sensibles. Des informations jamais confirmées, mais dont la trace refait surface à mesure que l’enquête progresse.

Les corps découverts par les spéléologues appartiennent à trois groupes distincts :

Cinq soldats du 13 RDP, retrouvés dans un état laissant supposer un combat rapproché.

Des gendarmes, visiblement présents avant ou pendant l’affrontement.

Des criminels identifiés, certains liés à des affaires classées confidentielles.

Les autopsies confirment des échanges de tirs violents à courte distance, sans signe clair d’exécution.

Des zones d’ombre persistantes :

Le rapport préliminaire du parquet militaire, bien que partiellement caviardé, évoque des « indices matériels manquants » et des « dispositifs non identifiés d’origine technologique inconnue ».
Les spéléologues parlent quant à eux d’une plateforme métallique enfouie, d’où émanait un champ magnétique résiduel, aujourd’hui scellé par les travaux.

Aucun service officiel n’a reconnu l’existence de cette structure.
Pourtant, plusieurs employés de l’entreprise minière affirment avoir vu, avant l’arrivée des militaires, des caisses étanches marquées d’un symbole étrange : un cercle noir barré d’une ligne verticale logo que certains internautes associent à une organisation fantôme, le Haut Comité.

Silences et pressions :

Depuis la découverte, les témoins directs sont étrangement silencieux.
Deux spéléologues ayant participé à la première exploration auraient été placés sous protection, tandis qu’un troisième aurait quitté le pays sans laisser de trace.
Les familles des militaires, elles, attendent toujours des réponses. Une mère d’un des soldats du 13 a déclaré :

« On nous a dit qu’ils sont morts en héros, mais on ne sait pas pourquoi. Et quand on pose trop de questions, plus personne ne répond. »

Une enquête qui dérange :

Officiellement, la cavité est désormais scellée et placée sous contrôle du ministère de la Défense.
Mais selon une source interne, des mouvements nocturnes de matériel militaire persistent encore autour du site, malgré la fin supposée des travaux.

Un haut fonctionnaire, sous couvert d’anonymat, a résumé la situation d’une phrase lourde de sens :

« Ce qui a été trouvé là-dessous n’aurait jamais dû exister. »

En conclusion :
Entre mensonges d’État, rivalités souterraines et secrets d’un autre âge, l’affaire de la cavité reste un gouffre d’incertitudes.
Un gouffre… que certains préféreraient refermer à jamais.
 
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